Giuliano Ruggieri
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Je ne verrai plus le bleu du ciel Seulement les nuages seront compagnons de mon voyage Et la pluie Qui, lente, descend imprégner la terre Et les âmes Mais pourquoi ne pas aller aux pays du soleil où la lumière blesse les yeux et un feu, d’en haut, brûle ta peau ? Là, la nuit écoute des battements de cœurs fatigués Et ivres Assoiffés de vivre Mais, j'ai un chemin à parcourir Jusqu'au bout Et puis, mourir février, 2000
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